Paco Ibáñez 1

  • icono disco paco 1
  • icono disco paco 2
  • icono disco paco 3
  • icono disco olympia
  • icono disco afdt
  • icono disco brassens
  • icono disco cancion
  • icono disco a galopar
  • icono disco oroitzen
  • icono Paco Ibáñez en concierto + DVD
  • icono disco fue ayer
  • icono disco goytisolo
  • icono disco poetas andaluces
  • icono disco poetas latinoamericanos

 

Paco Ibáñez 1

disco paco ibáñez 1

 

chansonsphotosvídeoboutique

Paris 1956, la photo d'une femme andalouse vêtue de noir lui inspire sa première chanson sur le poème «La plus belle fille», de Luis de Góngora. Les poèmes de Góngora sont suivis d'autres de García Lorca.

Son premier album réalisé à Paris en 1964 devient un classique, utilisé par les professeurs de Langue et de Littérature Castillane comme matériel pédagogique et par les défenseurs de la liberté comme un symbole de résistance culturelle.

Henri-François Roi écrit: "Les doigts précis de Paco Ibáñez et sa rigueur étaient nécessaires pour musicaliser les lamentations de Lorca et de Góngora. Il fallait avoir le sens du silence ainsi que de la note qui éclate dans le silence. Il fallait aimer l'amour pour parvenir à assembler ces mots brillants avec ces notes merveilleuses."

Salvador Dalí réalise la peinture qui illustre l'album >>

Salvador Dalí réalise la peinture qui illustre l'album et il la commente ainsi: "... J'ai pris de l'encre de Chine et en le faisant j'ai dit : je signe cette chose de Lorca avec son sang et avec le mien. Cette éclaboussure est une éclaboussure de sang. J'ai signé le disque d'Ibáñez avec du sang, à la manière espagnole."

En 1965, une fête pour la présentation du disque a lieu à la Foire du Trône de Paris. Le peintre déclare "... la Foire du Trône est le lieu approprié et essentiellement antitragique pour fêter la mémoire la plus tragique de l'Espagne : celle de la poésie de Federico García Lorca, chantée avec la musique la plus adéquate, qui aurait enchanté García Lorca, avec la plus espagnole de toutes les voix, celle de mon ami Ibáñez ..."

Pour la fête Dalí réalise un « tableau vivant et mécanique ». Le centre du tableau est un "manège" avec douze avions. Onze pleureuses habillées de noir par Dalí, prendront place dans onze de ces avions et le douzième sera occupé par un cheval créé aussi par Dalí. Le "manège" tourne avec la "Chanson du cavalier".

coordonnées

A flor de tiempo, SL
c/ Girona, 120
08009 Barcelone (Espagne)
Tf (+34) 93 457 11 18
Fax (+34) 93 458 92 53
Email: Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

Retour au début